X’cuse my franglais !

"And just like this",  
je suis de retour au blogging et about to vivre ma best life de "Carrie Bradshaw"... minus the gigantic ego & the toxic relationship with an unavailable man, hopefully.

En tout cas, ce qui est certain c'est que je ne vais mais pas me priver sur le franglais... What can I say ? It's my mother tongue...

It's not, for the record. Ma mère vient du Val d'Oise, mon père de Vendée et mon vrai prénom c'est Hermine s'tu veux...  Les anglophones ne comprennent d'ailleurs même pas mon prénom ! 
A chaque fois je suis obligée de leur expliquer "c'est comme Hermione, but without the o" et ils font "oooooh" et je fais "ohlala" et ils tombent amoureux... Bref, c'est dire à quel point je suis française.

J'ai appris toute petite à parler anglais parce que je le voulais très fort. C'est peut-être la première intention, la première graine que j'ai plantée - qui a bloom depuis - que je me souviens avoir eu dans cette incarnation. C'est une de mes plus grandes fiertés et probablement l'outil qui m'est le plus pratique dans la vie. 

J'aime d'ailleurs tellement l'anglais et l'enseignement, que j'ai donné des cours d'anglais à des classes de CP/CE1 l'année où je me suis lancée dans l'enseignement du Yoga. Je leur donnais parfois des cours de Yoga quand je sentais que leurs ptits corps débordants d'énergie avaient besoin de mouvement. Je leur enseignais les parties du corps au passage "now take your right hand inside your right foot, hold on to it and when you're ready, with your next exhale, kick your foot into your hand".  Comment vous dire combien c'était mignon ces minis natarajasanas ?

Tout cela pour dire que : je dois mon anglais à la pratique quotidienne que j'en ai fait depuis le plus jeune âge. Parce que même si j'ai eu la chance de beaucoup voyager dans ma vie (ma mère était hôtesse l'air), si j'avais du attendre d'être en terre anglo-saxone pour pratiquer mon anglais, je n'aurais pas l'anglais que j'ai aujourd'hui !

Et si j'aurais peut-être les mots en tête, je n'aurais probablement pas la confiance que j'ai de parler en anglais, de faire des fautes, d'avoir un accent etc etc. C'est le cas de nombre de mes ami.e.s qui disent "ne pas parler anglais" et le parlent pourtant très bien.

Mes élèves aussi ont cette peur. Cet été j'ai donné ma première retraite en anglais - la majorité des participant.e.s étant allemands et suisses -  ça a fait paniquer deux élèves françaises qui m'ont écrit avant ayant crainte de ne rien comprendre des cours & conversations... Et en fait elles n'ont eu (presque) aucun problème ni à comprendre, ni à s'exprimer pendant la semaine !

Soooo, I'm not about to apologize for speaking franglish, une chose qui devient de plus en plus banale avec les années...  

Ainsi tu as envie de (me) comprendre et d'apprendre, je ne saurais que trop te recommander de télécharger l'app "Google translate" sur ton GSM, très TRES pratique. No shade. Je l'utilise encore souvent bien que je lise désormais beaucoup de livres en anglais (de mémoire 6 cette année - oui, je suis le genre de meuf qui pref compter les livres que les calories). Et j'aurais pas pu vivre sans au Costa Rica où je devais manager les équipes (ménage, cuisine et maintenance) d'un hôtel de luxe, en espagnol.

Une traduction à la fois, on apprend.

Et puis on peut y trouver du fun ! Ca m'éclatait quand j'ai eu internet quand j'étais petite de passer des heures à découvrir les paroles de mes chansons préférées, d'enfin comprendre de quoi elles parlent, d'apprendre les paroles en lisant les phrases doucement d'abord et puis finalement de les interpréter avec l'émotion qui convient.. 

Anyway, that being said : let's blog ! 
J'ai hâte de publier le prochain article : un hommage à mes professeurs adoré.e.s.

D'ici-là, n'hésitez pas à me contacter pour des cours particuliers de Yoga et/ou d'anglais pour vous et/ou vos enfants 🙂 

Xx

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